Mon mariage
Mariage de raison
On est contre le principe
Mariage de passion
L'amour y participe.
Nous nous étions promis
Jamais de notre vie
Nous ne pourrions faire ça
On y va comme des forçats
Nous ne l'avons pas attendu
Comme un amour suspendu
Faisons en sorte qu'en ce jour
Notre amour triomphe pour toujours !
Pourquoi ?
A trop vouloir aider les autres, j'ai oublié de m'occuper de moi. Je
me suis investie corps et âme dans les problèmes de ces personnes que
je considairais comme des amis.
Et tout ça pour quoi ? bah rien en fait !
puisqu'ils en sont toujours au même point, à se repètre de leur
malheur, ne connaissant que leur souffrance comme une deuxième nature.
Quelle a été ma pire bétise ? Croire que je pouvais les aider ? Ou
m'investir ainsi pour des personnes qui ne le voulaient pas vraiment ?
Car qui c'est qui souffre vraiment dans ce cas là ? Devinez ...
On finit par croire qu'ils n'en valaient pas la peine, on cherche
la dispute ... alors qu'on veut juste leur faire comprendre ce qu'on
ressent nous.
En fait c'est moi qui ai besoin d'aide. Mais qui s'en soucis ?
Yen a marre !
Yen a marre de ces pétasses qui veulent maigrir à tout prix, de ces
mecs qui veulent que leur meuf soit aussi fine q'un roseau ...
on se retrouve actuellement avec une génération de dépressifs
juste bons à surveiler tout ce qu'ils mangent de peur de rependre un
gramme !
C'est pas une vie ca !
Où sont passées les femmes plantureuses qui faisaient envie ? les pin-up des magazines ?
tout ça s'est envollé avec le bon sens de tout à chacun ?
Aujourd'hui on ne voit plus que substituts de repas ou autre
saloperie destinés à nous enlever tout plaisir de manger. Ca rime à
quoi franchement ?
Moi je vous le dit tout net : le gras c'est la vie (cf Kammelott) !!!!!!!
Le travail
Travailler huit heures par jour
Quarante ans de sa vie sans détour
Prendre des vacances comme des forcenés
Tous dans nos voitures entassés.
Arriver enfin à la retraite
Et tout perdre d’une traite.
Le boulot c’était toute leur vie.
Aujourd’hui de rien ils ont envie
Les enfants ont grandit
Ils ont quité la maison depuis longtemps.
C’est bien comme on le dit :
Le chagrin passe avec le temps,
Tout passe, tout casse, tout lasse.
Ne reste que la folie collective
Des braves moutons qui trépassent
las-bas au loin sur l’autre rive.
A quoi bon les pleurer ?
Ils sont heureux là où ils vont
C’est du moins ce qu’on veut penser
Pour se donner bonne conscience dans le fond...
Qu'est-ce donc ?
Le sol qui se dérobe sous ses pas
Ces êtres qui passent de vie à trépas
Cette douleur dans sa tête
Elle ne sera plus de la fête.
Seule au fond de son trou, elle le regarde
Devant elle ils se dressent tels des chiens de garde.
Comment penser dans cette cohue,
Envelloppée dans ce silence qui tue,
Au bout du chemin elle va comprendre
A portée de main elle va tout prendre.
Mais quelle est donc cette impression bizarre
Ce froid qui la transpèrce de part en part ?
Comme une évidence indiscutable
Mais qui reste impalpable
Elle la traverse aussi facilement
Qu’une feuille prise au vent.
Cette douce chaleur qui l’appelle
Elle peut l’atteindre d’un coup d’ailes.
La peur de l’inconnu face à soi
Une drôle de peinture sur soie
Cet être lumineux et évanéscent
Belles paroles dans son inconscient
Voilà la mort droit devant...
Les vacances
Prendre des vacances comme des forcenés
Dans nos belles voitures s'entasser
On est plein à ras-bord
Sûrement un coup du sort
Car au détour d'un virage,
Les bouchons arrivent tels un mirage.
A quoi bon s'énerver ?
Ne sommes nous pas là pour nous amuser ?
Et enfin apres tant d'attente
Pouvoir enfin monter notre tente.
Faire le tour du camping bruyant
Cherchant les sanitaires désespérément.
Chiottes à la turque et douches en bois
Voilà qui ne manque pas de me laisser quoie !
Morale de cette petite histoire :
Si à vos enfants vous voulez faire croire
Que les vacances ça peut être extraordinaire
N'oubliez pas de bien regarder l'annuaire
Et faire vos réservations bien à l'avance
Pour bien profiter de cette délivrance
Que sont censées être les vacances ...